Ce mot, ah, ce mot, mes aïeux ... ce mot ! Il introduit, avec son "ö" jugé par certains, trop ignares pour l'apprécier à sa juste et noble valeur, "trop court", une idée à la fois de continuité (due à la boucle, promesse de renaissance et d'éternité, de renouveau et de perennité mêlés) et de rupture - la boucle étant balancée par le tréma, le tréma qui orne fièrement le corps même du "o".
Ce même tréma pointé vers le ciel, qui transmet à la fois une notion de dualité (il y a deux points, oui, deux, comme trois, mais avec un de moins) et d'espoir - la boucle est rompue, certes, mais par un signe qui monte, qui s'élève, qui s'envole ! Bref, ce ö est une transition sans égale entre les profondeurs du "p" (qui, on le voit, entame, timidement et vers la fin, une ébauche de boucle qui annonce le "ö", que dis-je, qui le promet) et les sommets du "Y" ("Y", où l'on retrouve la croix du "t", mais bien plus accentuée, et davantage orientée vers les limbes et les sommets - et par conséquent supérieure, sublime).
Non, franchement, le pöY, ça poutre.